Ce même chemin, ce même banc,
La pierre, histoire de prouver
Que le mal me va comme un gant
Trop drôle, je souris à en crever
Un pas, l’un après l’autre, tout
Ca très gentiment, faut pas troubler
Le sommeil de celui qui se fout
De mes sentiments, de soie doublés
Je suis grande, maintenant, bien dressée
Sur mes hauts talons, aiguilles plantées
Dans ta chair, me voilà, avancée,
Si tu l’oses vraiment, ta fée cabossée
Viens la chercher…
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